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Il n'y a pas de lumière sans feu | Honoka
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Hozen Meruem
Hozen Meruem
Ven 7 Juin - 8:37
Tengoku avait, selon les récents rapports des Jigokuchos, été entre guillemets réquisitionnés par le Sotaicho en personne. Cela durait bien plus longtemps que prévu et il semblerait alors que quelqu’un chose d’important soit en train de se profiler. Le shinigami avait toujours eu l’habitude de prendre les devants, il n’allait certainement pas changer ce trait de caractère aujourd’hui. Le pas assuré et au beau milieu de l’après-midi, Meruem avait décidé de rendre visite à son homologue fukutaicho. Le seul collègue à rang égal de sa division. La seconde branche devait bien posséder une tête mais bon, même l’imprévisible n’avait eu vent, ni de son nom, ni de son visage. Pas même de son pouvoir. Nébuleux serait le terme pour le décrire, oui.

Il s’agissait là d’un véritable problème.

Mais si Tengoku l’avait décidé ainsi, c’est qu’il savait ce qu’il faisait. Enfin, du moins il croyait le savoir. Bref. Aujourd’hui, il s’invitait dans les quartiers de l’Iryoku. Serait-il bien accueilli ? Rien n’était moins sûr, s’il fallait en croire le caractère… particulier de la Borukan férue d’explosions massives en tous genres. Le but de sa visite était simple mais n’en n’était pas moins capitale : ils allaient discuter du dispositif de défense du Seireitei ainsi qu’une possibilité de contre-attaque si jamais un imprévu devait montrer le bout de son nez.

Classique mais nécessaire.

Le guerrier - pas encore - millénaire entrait alors dans le bâtiment où se trouvait les bureaux de la fameuse Honoka. Après allez savoir quels procédés, il avait fini par atteindre la pièce où il espérait trouver la princesse. La présence d’un visiteur ne devait pas être une surprise vu que les portes de la Soul Society étaient coulissantes et laissaient transparaître les silhouettes de l’extérieur vers l’intérieur.

Si l’invitation à entrer se lançait, Meruem ne se ferait pas prier plus longtemps. C’est qu’il ne faudrait pas manquer de temps, ce serait un comble pour un shinigami.
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Invité
Invité
Ven 7 Juin - 23:37

Fidèle à sa parole, Honoka n’avait pas perdu de temps. Dès l’aube et les premiers rayons du soleil, elle était partie visiter les baraquements de ses unités. S’il fallait le dire assez rapidement, l’architecture des fortifications de leurs baraquements était celles du japon féodal. Les tours étaient hautes et les gardes fixaient l’horizon. Les lourdes portes étaient elles-mêmes gardées par d’autres Hommes, « de corvée », comme ils aimaient se le dire entres eux. Les membres de l’Iryoku rejoignaient la division pour prouver leur force, l’action et rarement pour effectuer des tours de garde, ce qui valait que les rondes soient appelées « corvées », le plus souvent.

Pour autant, ils demeuraient zélés dans leur labeur : un coup de pied de la part de leur vice-capitaine était si vite arrivé… De la même manière, être pris en train de flâner ou de buller pendant les heures de service était aussi puni assez sévèrement. Les légendes racontaient que l’Iryoku avait sa propre liste de gage pour les mauvais travailleurs, une liste de tâches les plus ardues qui puissent être : parmi les plus connues, on listait par exemple le fait de faire la roue toute la journée autour des fortifications, traverser le rukongai sur les mains, ou encore, parvenir à enchaîner dix bols de ramen géant à la caféteria… Des tâches qui visaient tout autant à punir les indolents qu’à les rendre plus fort et plus vigoureux.

D’ailleurs, dans la cour intérieure, Honoka, supervisait l’entraînement des membres de l’Iryoku : Ils commençaient par une heure de répétition des gestes codifiés de kenjutsu, puis enchaîneraient sur une heure d’exercices physiques, avant de terminer par une heure de kumite. L’après-midi serait composé d’exercices de kidō et de méditation pour améliorer le contrôle des zanpakutō par les membres de ses unités. Un programme chargé que la jeune femme animait autant que possible et en le faisant varier, quelques fois.

Face à elle, une bonne centaine de recrues et de shinigami un peu plus rompu suivait ses mouvements, qu’ils répétaient dans une discipline de fer. Chaque fois qu’elle poussait son kiai, il était repris quelques instants plus tard en cœur. « Continuez ! La discipline est l’alliage de tout guerrier ! Le exhorta-t-elle avant de commencer à visiter les rangs harmonieux des troupes d’intervention du goteisantai.  Là, elle prit soin de corriger la posture d’une recrue. Là-bas, elle confirma les progrès d’un de ses hommes, Kousuke, qu’elle connaissait maintenant depuis une décennie.

Et puis, un des garde à l’entrée se précipita jusqu’à elle.
– Yamamoto-sama, Hozuen-sama souhaite vous rencontrer…

Elle haussa un sourcil. En ce moment, c’était un véritable festival de visite impromptue : elle qui d’habitude n’intéressait personne… Il y avait une véritable effervescence dans le seireitei.

«  La police militaire, uh… Très bien. Jun’Ichiro-kun, tu reprends l’entraînement le temps que je m’absente. Ordonna-t-elle à l’un de ses vétérans qui était non loin.
– Bien, Yamamoto-sama ! » s’exclama-t-il avant de crier ses ordres pour que l’entraînement puisse se poursuivre.

Honoka éponge son front avec du linge propre. Le soleil était brûlant, ces derniers jours. Son regard se perd sur l’horizon. Le temps de la paix semblait s’éteindre au profit d’un conflit qui ne se montrait pas… Le messager la regarde, attendant ses prochains ordres.
« Je vais aller à sa rencontre, faites servir du thé et de quoi sustenter notre invité dans mon bureau. »

Le messager fait un salut militaire et s’élance dans les quartiers intérieurs de l’Iryoku, tandis qu’Honoka pose sa serviette sur son épaule gauche avant de se mettre à avancer tranquillement jusqu’à la porte principale. D’un signe de tête, elle autorisa ses hommes à déclencher le mécanisme d’ouverture, révélant dans l’ombre des fortifications, la jeune brune qui était la vice-capitaine de ces lieux.
« Eh bien, au moins, Hozuen-dono, vous êtes passé par la porte d’entrée. Ce qui ne semblait donc pas être le cas de tous ceux qui voulaient la voir. « Que me vaut votre visite en ces lieux ? Vous aussi, vous êtes venu enquêter sur ma moralité ou celle de mes Hommes ? Un des gardes retint un rire en imaginant les possibilités que la petite brune puisse être immorale, celui qui valut immédiatement un magnifique coup de pied sauté dans la tête, le propulsant au sol face à une moue vexée d’Honoka. « Vous voyez, à part aimer rire sur le fait que je puisse être immorale, ils savent se tenir tranquille. »
Elle soupire avant d’ajouter, bras croisés. « Enfin, quel que soit la raison de votre venue, entrez. Elle l’invita d’un regard et de ses pas vers la cour intérieure, à la suivre, tout en proclamant, non sans une certaine fierté : « Bienvenue dans la forteresse de l’iryoku. Force de frappe du seireitei. »
Derrière sa voix, les cris militaires des shinigami de sa subdivision donnaient du cachet et du crédit à la parole de celle qui avait l’air d’être une simple jeune femme, alors qu’elle le fit pénétrer à l’ombre des couloirs, jusqu’à son bureau. Elle s’installa derrière un petit bureau, sur un coussin, en zazen, avant de l’interroger du regard : « Hozuen-dono, que puis-je pour vous ? » [/color]
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