Sah.
Quel.
Plaisir.
Se faire enguirlander par Tengo – ce chien – tout ça car j’ai déchiré sa secrétaire et qu’elle était trop bruyante. Nan vraiment c’est un jaloux et un haineux. J’sais pour sûr qu’il a des vues sur elle. Moi, dans mon infinie miséricorde, bah j’la soulève à sa place. C’est la base, j’vais quand même pas partager mon Butin. Après y’a des rumeurs comme quoi sa mère serai une pute. Tout à fait compréhensible.
Enfin bref. Petit topo sur la situation. J’suis dans les quartier de l’iry-mes couilles à laver des strings ficelles de gaillards qui font 2m pour 400 kg. Vous voyez le plan pourri ? Aucune paire de seuff à l’horizon, aucun jus de bagarre pour faire passer le temps. Le ponpon sur la Garonne c’était quand même l’absence d’hikaru à bolosser. Quelle vie de chien.
J’vais pas vous expliquer tout ce que j’ai vu, c’est digne du visage à beryl : un cauchemar. Et v’là t’y pas que la porte s’ouvre et qu’une voix vient te déranger. Mais elle est folle elle. Action, réaction.
« Hop hop hop. Premièrement, j’men fou de savoir qui tu es, mais quand on s’adresse à moi on dit MONSIEUR T O K U G A W A. »
Bon j’suis pas un chien lol. J’tourne ma tête pour voir qui est l’instigatrice de ce dérangement. Car j’reconnais à l’oreille. Qui dit voix aigue, dit meuf à gérer – sauf quand c’est akiro qui parle la y’a méprise. De vous à moi, Bsahtek la racli.
« Hé. Mais j’te connais toi. T’es la vice-capitaine au gros postérieur. Sa devient interessant finalement. C’est quoi ton p’tit nom ? Hono-tchoin non ? »
Le chien s’éveille. J’lynxe sans aucune gêne les galbes de chairs qui s’offrent à moi. J’vous arrête tout d’suite. J’suis pas ce renoi chelou qui trainait dans montagnes électriques ou que sais-je. Je n’murmure pas encore à l’oreille du meta-game.
« Diantre. Mes manières. L’étage est libre, si tu veux j’peux te soulever comme la coupe du monde. »
Petit clin d’oeil. Moi bah tu m’connais j’gonfle la poitrine. Sa contractes les muscles. Franchement, encore une fois, de vous à moi, j’suis vraiment bg comme garçon.